Bah, euh, tout simplement j'ai entendu cette musique et j'ai pensé à toi. Puis j'ai vu ton message, j'ai vu qu'on était déjà le 29, fin juin, fin de mes examens de musique, spectacles de danses, et puis c'est déjà l'été. J'avais pas calculé. Je vois un papillon qui rentre par la fenêtre, je te jure, je ne sais pas si on appelle ça un élan de niaiserie ou, i don't know mais moi je vais seulement dire que tu me manques, sincèrement, et que je suis désolée pour ces moments d'absence. C'est là, aussi, que je me dis qu'il suffirait de rien du tout, vraiment, pour qu'on soit toutes les deux, là, juste derrière (chez moi, ou chez toi, ou pas loin quoi), allongées dans l'herbe, au soleil, puis à se motiver pour aller s'assoir à une terrasse boire une grenadine, ou, je ne sais pas. Enfin, il suffirait de rien pour nos sourires à toutes les deux... (Et l'ordinateur est trop loin de moi généralement au quotidien, je ne sais pas, j'y pense pas, je pense pas aux mails.) Mais.
Je t'aime.
Ne t'oublie pas, jamais. Même si j'oublie parfois facebook.
Je voudrais tellement qu'on tienne nos Promesses. Enfin je sais qu'on le fera mais il faudrait pas qu'on attende trop. On en a envie en plus toutes les deux.Ne t'oublie pas, jamais. Même si j'oublie parfois facebook.
Juste, de quand à quand pars-tu cet Eté, déjà ? Per favore.